Sensibilisée depuis toujours à la question de l’humain et de la relation à l’autre, j’ai consacré ma vie professionnelle à l’accompagnement, sous différentes formes.  

Après avoir hésité entre les métiers de l’enseignement et la psychologie… je me suis finalement orientée vers la profession d’assistante sociale. Le travail social, à la fois passionnant et complexe, riche et difficile, m’a longtemps comblée, m’amenant à des postes d’assistante sociale auprès de différents publics puis à des fonctions d’encadrement. Ces différents emplois avaient en commun d’être consacrés à l’accompagnement : accompagnement des personnes en difficulté pour les amener à (re)trouver une voie d’insertion, de développement social, d’épanouissement… ; accompagnement d’une équipe de collaborateurs, pour les aider à remplir au mieux leurs fonctions, dans le développement de leurs compétences, la valorisation de leur savoir-faire, et dans une logique de réalisation…

Jusqu’à considérer que l’évolution et la complexification de notre société et des politiques sociales tendaient à oublier l’humain en plaçant le dispositif avant l’usager, déterminé par catégories. A quoi bon proposer des aides, des formations, des emplois aidés aux personnes en difficulté si rien n’est fait pour leur permettre de restaurer une estime de soi, mise à mal par des parcours de vie singuliers, dans une société de plus en plus normative ? Comment encadrer des professionnels en gardant cette dimension de l’humain, en privilégiant la bientraitance , l’écoute et la valorisation, dans des organisations pressées par une exigence parfois déshumanisante de rentabilité, dans des logiques de gouvernance, de gestion, où l’agent est  oublié au profit de la procédure…  

D’où mon interrogation : comment favoriser ce mieux-être, cette bienveillance, cette estime de soi ? Comment trouver de nouveaux outils, une nouvelle façon d’être en contact avec les gens ? Comment satisfaire ce besoin de me rapprocher de l’humanité de chacun, retrouver le contact avec l’autre ?

J’ai donc décidé de m’orienter vers d’autres formes de l’accompagnement en développement personnel et professionnel.

La sophrologie, l’hypnose  et la pratique de l’EFT/TLE (libération des émotions) sont des outils qui s’associent à merveille pour aider chacun à dépasser ses blocages, stimuler ses ressources et renforcer l’estime de soi.

La sophrologie s’adresse directement au corps, et ses ressentis, aux émotions, sans nécessairement passer par les mots. Les outils comme la respiration, la conscience des sensations corporelles … rendent cette technique accessible à tous.

L’hypnose eriksonienne, qui agit sur les mécanismes de l’inconscient, permet de manière douce de modifier un comportement, d’arrêter une addiction, proscrire une peur ou une phobie, de guérir le vécu émotionnel…

L’EFT permet de désactiver des fonctionnements ou des comportements en désamorçant la charge émotionnelle et affective, qui bloque la personne dans son parcours, sans nécessiter l’exploration des causes et des origines.

En parallèle, j’exerce des fonctions de formatrice.

Ainsi, grâce à ces techniques, après plus de 25 années d’expérience professionnelle consacrée à l’accompagnement et la relation d’aide dans différentes formes (travail social, encadrement), je poursuis mon activité dans des métiers qui restent dans le domaine qui m’a toujours intéressée : la relation à l’autre.

sophrologie_hypnose_EFT_techniques